Publications

Au Clair-Obscur
Septembre 2021
La poésie comme… un clair-obscur.
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Suivez-moi dans mon univers où :
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« Les flots m’ont entraînée
Vers les contrées de ses livres
Goûter à son âme ivre
Encore toute humide.
Chavirant dans son monde
À travers les lignes
J’ai ainsi sondé
Ses plus longs secrets. »
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Il est temps de vous éblouir à l’ombre
des secrets de mon clair-obscur.
Excellente lecture !

Mon Ombellune
Septembre 2021
« D'emblée ce qui me semble être l'originalité du recueil de poésie écrit par Sarah, c'est son refus de composer dans un genre unique, dans une même mouvance, dans un même créneau.
Elle évite avec intelligence de répéter inlassablement le même poème.
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Le monde qui l'entoure, sa propre histoire, le rêve peuplé de fées, de lutins et d’elfes, le mystère, l'humour, la délicatesse de la pensée, l'émotion… traversent de part en part les 26 poèmes que comporte son recueil.
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La musicalité est omniprésente et l'on se plairait presque à « chanter sa poésie ».
La modestie enfin de Sarah, quand on fait allusion à son œuvre et à son talent, font d'elle une grande toute-jeune-poétesse. »
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André Rosenberg, Président du jury du Prix de littérature à Flayosc le 4 mai 2013.
Mon Ombellune a reçu le deuxième prix de Littérature à Flayosc

Octobre 2024
Que cultive donc Sarah dans Le jardin de mes mots ?
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Sa poésie, bien sûr !
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Devant une porte bien mystérieuse au bleu profond comme l’azur,
le lecteur s’interroge. La poétesse l’invite à la pousser pour découvrir,
sous un clair de Lune à nul autre pareil, un univers sombre et doux,
sensuel et fleuri, où la nostalgie le dispute aux élans langoureux.
"Le vent m’emporte dans une valse imaginaire
Et je fais de mon Monde un manège
Comme un livre que je feuillette à l’envers
J’use avec malice de bien des sortilèges."
Ses mots délicatement posés comme des gouttes de rosée sur une fleur
des champs se dégustent comme autant de capiteux nectars.
À chacun d’en saisir la subtilité et de composer le bouquet qui lui conviendra.
Au sortir de sa lecture, le curieux n’aura plus qu’à user de sa mémoire
pour retenir l’essentiel de la volupté qu’il aura ainsi captée...​

